jeudi 12 mai 2016

Mémorial Garang Coulibaly, décédé le 10 mai 2014

L’illustre disparu donné en exemple à la nouvelle génération
Feu Garang Coulibaly
 
Personnalités de l’État, figures du monde sportif et de la culture ont répondu à l’appel de la famille de Garang Coulibaly pour se remémorer de ce digne fils du pays, à la Maison de la culture Douta Seck avant-hier, mardi, date coïncidant avec l’anniversaire de sa disparition le 10 mai 2014.

Une rencontre riche en enseignements sur feu Grand Coulibaly. Au cours des débats, certains ont témoigné «la bonté» et «la générosité» de l’homme. D’autres ont vanté sa «multi-dimensionnalité intellectuelle», son «engagement, son abnégation dans le domaine du sport et de la culture.

«Nous sommes vraiment satisfaits de cette journée. Nous avons remarqué la présence du cabinet du ministère des Sports et celui de la Culture. Nous avons vu toutes les personnes quels que soient leurs revenus, leur profil et statut social. Ils étaient tous là. Ce que je retiens de Garang Coulibaly, c’est un homme du Sénégal. Et ça, vraiment, c’était touchant», a confié en marge de la cérémonie son fils, Daouda Coulibaly.

La disparition de Garang Coulibaly, ancien inspecteur principal de la jeunesse à la retraite et expert sportif, «est une perte pour le Sénégal et l’Afrique. Parce qu’il a eu à jouer un rôle important à la fois pour le Sénégal mais aussi pour le continental. Et il a évolué sur deux leviers, le sport et la culture devenus des facteurs de croissance et de développement. Et ça c’est important. Garang a été un acteur très important pour le sport mais également pour la culture», soutient-il.

Garang Coulibaly est parti, mais ses écrits demeurent pour inspirer la nouvelle génération. «L’ensemble de ses documents peuvent être consultés au niveau du Bureau des archives. Et je pense que ses œuvres doivent pouvoir se trouver dans les bibliothèques universitaires», estime son fils. Car, «ça pourrait être un honneur intéressant pour perpétuer la réflexion, la pensée et les recherches de Garang Coulibaly sur le sport mais aussi la culture.»

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